La danse rituelle des
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Peints sur le plafond de mes rêves elles sont placées là toutes
seules tellement vives que c'en est trop lentes elles sont dans le temps détachées de tous les devenirs |
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elles dérivent en spirales ralenties d'un battement des cils allongées par l'inévitable puis retenues par des sourires fous dans leurs yeux de désirades Fixes-tu les points de leur chant peux-tu retenir un peu plus ce serait bon de renoncer arrêtez de danser là-haut les affameuses de solitude |
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aux verbes tous faits dans les moules des habitudes et des miroirs ce serait bon de chavirer dans l'oubli de son impossible morceaux de mots aux chairs
nouvelles nymphette exténuée des images incroyable sabbat de tête son abcès de misère lente 78 |
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