Elle a glissé au sol
ouvrant ses cuisses à en craquer
et tordant sa poitrine lourde :
dernière offrande
elle creuse les reins
croupe saillante
bouche ouverte
son immense chevelure recouvrant ses talons Comme c'est beau
comme c'est trop Je lave mon papier de l'eau des au revoir
engloutissant sa chair dans la pâleur des encres
brisée elle est venue pour voir
comme autrefois sa main sur ma main comme toujours
- C'est la meilleure sais tu ?
on sonne : c'est la petite
nouvelle qui vient
elle a voulu rester auprès du chevalet
nue
Je fais le thé elle est en nage et la gamine lui tend sa tasse
- Tu es jolie tu sais !
- Oh mais toi tu es belle ... a dit l'enfant. |